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journal et ratures photographiques
les indiens, journal, été 24
tirieu, 2024
Les portes sont restées ouvertes et les fenêtres ont laissé place aux nouvelles lumières étreintes. Je n'ai pas dessiné les derniers halos déifiques, scintillants des ces sables chauds qui délicatement se projetaient contre les murs polis par le temps, les humeurs et les photographies. Et je me souviens, encore, de ces mèches de cheveux, au vent, sur les nuages scintillants et virvolants entre les mailles des jaunes et des beiges, des verts et des ombres animées.

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